Filesystems filesystem
Pour que les partitions ou les volumes logiques
puissent être utilisés comme des arborescences,
il est nécessaire d’y créer une structure de filesystem.
Comme évoqué plus
tôt dans ce chapitre, nous avons choisi de conserver ce terme
de filesystem, traditionnel dans le vocabulaire Unix, sans chercher à lui donner à tout
prix une traduction.
La structure physique d’un filesystem peut
se résumer ainsi :
On sait que chaque fichier Unix est associé,
dans le répertoire où il se trouve, à un
numéro d’inode (voir paragraphe A). La dimension de la
table des inodes correspondra au nombre maximum de fichiers du filesystem.
L’espace disque est alloué par blocs.
Les blocs disque occupés par un fichier sont retrouvés
grâce aux informations d’adressage situées dans
son inode.
Le détail de cette structure physique
et les mécanismes d’allocation de l’espace disque se sont
perfectionnés en termes de sécurité et
de performance, au fur et à mesure des années.
Dans un ordre chronologique, on peut distinguer
trois types de filesystems :
Cette première famille est quasiment
obsolète aujourd’hui.
Par rapport à la génération
précédente, on dispose de meilleures performances
(blocs ...