Introduction

Historiquement, les grandes entreprises du Web, à cause d’un très grand nombre d’utilisateurs ou de très gros volumes de données, ont eu besoin, à un moment donné, de bases de données de plus en plus vastes. À cette époque, la mise à l’échelle se faisait généralement par l’augmentation de la capacité de la machine hébergeant la base. En effet, dans une base de données relationnelle SQL, les relations sont portées par des clés primaires qui sont référencées par des clés secondaires avec l’aide d’index. Les requêtes sur les données se font par jointures et au bout d’un moment s’il y a trop de jointures, cela devient très vite complexe. SQL Jointure NoSQL

La complexité relative aux jointures est un argument que l’on rencontre souvent. Il faut savoir à ce sujet qu’il existe des applications composées de plusieurs milliers de tables utilisant les jointures qui fonctionnent très bien sous Oracle. Oracle peut gérer plusieurs milliards de métadonnées (Dictionary-managed database objects : https://docs.oracle.com/en/database/oracle/oracle-database/19/refrn/logical-database-limits.html#GUID-685230CF-63F5-4C5A-B8B0-037C566BDA76). Il y a un volume de données limité et une croissance exponentielle des difficultés à exploiter la base en fonction...

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