Gestion des contextes avec kubectl
1. Origine du besoin
Avant de tester des clusters Kubernetes de différentes origines, il est intéressant de comprendre comment est stockée l’information de connexion en local, ceci afin de :
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pouvoir facilement passer d’un cluster à un autre,
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stocker l’information quelque part (pour l’archiver, par exemple).
2. Lister les contextes
Au lancement de Minikube, le lecteur a créé un contexte par défaut : minikube.
Un bon moyen de s’en rendre compte est d’utiliser la commande kubectl suivie de l’option config et du mot-clé get-contexts :
$ kubectl config get-contexts Commande kubectl:kubectl config
Dans le cas où vous auriez configuré un accès à minikube ainsi qu’un cluster créé chez Google, la sortie pourrait ressembler à ce qui suit :
CURRENT NAME CLUSTER AUTHINFO NAMESPACE
gke-test gke-test gke-test
* minikube minikube minikube
Toujours avec l’option config, la sous-option current-context permet de récupérer le champ NAME du contexte par défaut :
$ kubectl config current-context
Dans le cas où minikube serait le contexte par défaut, la commande renverra le résultat suivant :
minikube